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  • L'exploitation artisanale de l'or affecte l'environnement soit par la déstabilisation des massifs rocheux, soit par la circulation des composés toxiques (Hg, Pb, Cd, Zn, etc.), soit par la dégradation des ressources forestières. Kamituga est une zone aurifère. le développement de l'orpaillage à Kamituga est à la base de la pression démographique dans ce site. Le procédé d'exploitation consiste d'une part à la récupération des alluvions dans les lits des rivières, d'autre part en une extraction du minérai à partir d'un réseau très dense de puits d'extraction. Les résultats obtenus après cette étude prouve une pollution au plomb des eaux réceuillies dans le scteur de Kamituga. Quant au sol, c'est surtout le cadminium, nickel et le cuivre. Les observations environnementales nous ont permis de mettre en évidence des incendies graves sur la forêt et la faune. Des cas d'affaissement, éboulements, des glissements de terrain, des chutes des blocs y ont été décélés.

  • Cette carte indique -L'hydrographie -Les limites des régions naturelles -Les forêts protégées -Les limites des parcs nationaux.

  • Cette étude porte sur l'inventaire et la description des champignons consommés par la population riveraine du PNKB avec comme objectif d'améliorer les connaissances sur les espèces fongiques consommées. Pour y arriver les méthodes d'enquêtage et de relevé des champignons ont été utilisées pour une bonne analyse des compositions fongiques. Au cours de cette étude, 38 espèces appartenant à 25 genres et 16 familles ont été inventoriées dont 8 non connues. Ces familles ont été classées dans 11 ordres, 5 sous-classes et 2 divisions. L'embrachement de Basidiomycota a été le mieux représenté avec 37 espèces, soit 97,4%. Les espèces terricoles sont les plus dominantes (55,3%) de l'ensemble des espèces de mycoflore. De l'ensemble 21 espèces des champignons sont consommés par la population mais 10 seulement sont reputées comestibles à Nindja.

  • Cette carte informe sur les aspects administratifs relatifs aux parcs nationaux et réserves de la République Démocratique du Congo (RDC) vers les années 1948.

  • Cette carte indique l'hydrographie et les informations relatives aux types d'habitations (cases quadrangulaires, circulaires, toit et mur dans la partie occidentale de la République Démocratique du Congo.

  • Cette carte indique l'hydrographie, les voies de communication, les Station de l'IRSAC (aujourd'hui CRSN), les maraies, les frontières et le Parc national de Kagera au Ruanda.

  • La période du laisser-faire urbain de l'après-indépendance en RDC a vu les espaces à urbaniser et à protéger envahis par des quartiers spontanés. Souvent excentriques au Centre de l'ancienne ville coloniale, construits avec des matériaux de fortune, ils ont été habités par des ruraux moins instruits et aux maigres salaires. Ces nouveaux quartiers d'autoconstruction comptaient 2.270 maisons en planches en février 1983.