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  • Les études ont consisté en la description des horizons de sol environnants le port de Kalundu, l'élaboration des profils pédologiques, la détermination des caractéristiques géomécaniques de ces sols sur terrain et au laboratoire, et à l'étude de la stabilité du port Kalundu par une approche tectonique prévisionnelle.

  • Il s'agit d'une brève caractérisation du secteur de Mukungwe basée sur une étude lithostratigraphique, pétrographique et structurale de ce secteur en vue de faire la comparaison des formations rencontrées à celles du reste du synclinorium de l'Itombwe, secteur déjà étudié par Walemba.

  • La pétrographie du secteur de Kawizi est caractérisée par les granitoides (granite, pégmatite, granodiorite) et les roches métamorphiques à savoir les gneiss, les quartzites et les migmatites. Les oxydes Al2O3 , K2O et Fe2O3 montrent une correlation positive avec l'or dans la plupart des échantillons de roche analysés.

  • L'étude pétrographique macroscopique et microscopique ont permis de mettre en évidence deux formations sédimentaires (les grès quartzitiques micacés legèrement ferrugineux) et métamorphiques (quartzites micacés, quartzoschistes, les quartzites à grenat et quartzophyllades). L' approche géochimique intègre non seulement les formations sédimentaires et métamorphiques mais aussi et surtout les formations volcaniques (trachytes et basaltes).

  • Ce travail est une étude hydrogéologique des eaux souterraines qui percollent la minéralisation aurifère de Mukungwe exploitée dans les galéries des mines souterraines et dans les lits vifs de rivière. Notre contribution est de pouvoir proposer des pistes de solution à l'amélioration des techniques d'exhaure utilisées dans le puits d'or Bako-Juger. Les analyses de laboratoire des eaux de Mukungwe révèlent qu'elles sont impropres à la consommation du fait que l'eau consommée est controlée par les seuls effets naturels de l'autoépuration de l'argile par sa granulométrie fine et du couvert végétal.

  • Ce travail a consisté en la construction de la carte géologique du secteur d'étude, la projection de la carte géologique sur un modèle topographique 3D, la superposition des coupes géologiques en vue de l'obtention de l'extension verticale des couches géologiques ainsi que la corrélation entre la carte , les coupes et le modèle 3D partant d'un lever géologique et topographique sur terrain et des travaux dans le logiciel Surfer. Les données pétrographiques ont été completées par les analyses microscopiques d'échantillons au Laboratoires.

  • Ce travail est axé sur l'hydrologie en domaine de circulation naturelle des eaux à la surface de la terre. Pour ce faire le model numérique de terrain d'Uvira a été traité et analysé au moyen des logiciels et outils de cartographie informatique (ILWIS, l'extension AVSWAT de Arc VIEW, Arc GIS, Google Earth, et Microsoft Officie Package). Ainsi la carte de sens d'écoulement, la carte d'accumulation de l'écoulement, la carte d'optimisation topologique de MNT, la carte hydrologique, la carte de calcul de seuil variable, la carte d'extraction du réseau de drainage, la carte d'extraction et de fusion des bassins, la carte montrant les différents ordres de ruisseaux ont été élaborées.

  • Les différentes théories dévoloppées dans ce travail ont pour objectif le contrôle de la stabilité des ouvrages de génie civil; concept important mais d'appréhension non facile car intègrant tout au long de sa réalisation plusieurs caractéristiques intrinsèques dont les plus attachées restent celles de la capacité portante (paramètres de Mohr-Coulomb: cohésion et angle de frottement interne) et de contraintes admissibles en deca desquelles les tassements en résultant restent non significatifs pour perturber la stabilité de l'ouvrage d'art. Les essais d'identification et de compactage pour ressortir la nature et les qualités des sols ont été effectués.

  • L'étude géologique du secteur de Luhanga a été effectuée sous deux approches: pétrograhique et structurale.L'analyse pétrographique a dénudé l'existence de plusieurs espèces lithologiques et entre autres, les formations métamorphiques qui sont les plus repésentées et pouvant probablement constituées environ 80% des variétés pétrographiques ( gneiss, quartzites, schistes, micaschistes, grès quartzitiques). Deux faciès magmatiques identifiées ont été retrouvés dont le granodiorite et le granite intrudés dans le gneiss sous forme de migmatite. L'analyse structurale a révelée une orientation préférentielle S1: WNW-ESE. Par corrélation régionale, l'âge ruzizienne est à attribuer aux événements géologiques de Luhanga.

  • La structurologie de Ludjo donne une succession des linéations, diaclases, joints et filons illégalement repartis et témoignant d'une forte succession des forces mises en jeu pour ce faire. Trois types de pétrographiques ont été inventoriés: Les grès (la lithologie la plus abondante) les quartzites et les schistes rencontrés par endroit en intercalation dans le grès.