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  • Les rivières de la ville de Bukavu, pour la plupart d'orientation Ouest-Est, dévalent montagnes et collines pour rejoindre le lac Kivu plus bas, à une altitude de 1.460m. Ces bassins versants fort allongés et de plus d'une dizaine de kilomètres carrés sont souvent, particulièrement dans la zone basse du littoral lacustre, caractérisés par des débits importants et parfois des inondations dans les mois les plus humides. La rivière Tshula en est devenue célèbre depuis les premiers dégats humains et matériels qu'avaient connus la Pharmakina et l'Office National du Café dans sa partie aval.

  • Cette carte renseigne sur la pluviométrie en RDC.

  • Cette carte livre diverses informations relatives à la pluviosité dans le territoire du Ruanda-Urundi (Rwanda-Burundi) vers les années 1955.

  • Bukavu, ville d'altitude et de latitude équatoriale, est à la fois sous l'influence de la barriere montagneuse qui longe l'Est de la RDC et de la cellule cyclonique de la zone intertropicale (cellule de Walker). L'ascendance géorographique des flux anticycloniques océaniques (Mascareignes ou de Sainte-Hélene) et l'atténuation des températures (moyenne thermique annuelle autour de 20 et 21°C) se reflètent à travers le ciel de Bukavu. Sa néphanalyse est formelle et parle d'un ciel tres nuageux entre 57 et 58% des cas. Les nuages les plus fréquents en saison humide sont des types cumulus et cumulonimbus (étage inférieur), altocumulus (étage moyen); en saison sèche, le cirrus et ou le cirrostratus (étage supérieu)r; la période de transition, les altostratus, les altocumulus, les cumulus fractus et humilis sont les plus observés.

  • Bukavu, ville d'altitude et de latitude équatoriale, est à la fois sous l'influence de la barriere montagneuse qui longe l'Est de la RDC et de la cellule cyclonique de la zone intertropicale (cellule de Walker). L'ascendance orographique des flux anticycloniques océaniques (Mascareignes ou de Sainte-Hélene) et l'atténuation des températures (moyenne thermique annuelle autour de 20 et 21°C) se reflètent à travers le ciel de Bukavu. Sa néphanalyse est formelle et parle d'un ciel tres nuageux entre 57 et 58% des cas. Les nuages les plus fréquents en saison humide sont des types cumulus et cumulonimbus (étage inférieur), altocumulus (étage moyen); en saison sèche, le cirrus et ou le cirrostratus (étage supérieur); la période de transition, les altostratus, les altocumulus, les cumulus fractus et humilis sont les plus observés.

  • Cette carte (feuille 5) livre diverses informations à propos de la moyenne pluviométrique annuelle vers les années 1959.

  • Cette carte détermine la moyenne pluviométrique dans une partie de l'Afrique vers les années 1959.

  • Cette analyse porte sur six éléments différents dont la radiation solaire, le régime thermique, l'humidité de l'air, les pluies, les vents et la pression atmosphérique. Du 1er mai 2003 au 30 avril 2004, il a été constaté ce qui suit : le soleil est au zénith entre 11 et 14 heures, intervalle durant lequel la température passe d'un minimum de 16°C à un maximum de 24 à 28°C. L'humidité de l'air évolue journellement en sens inverse: décroit entre 06 et 14 heures, et croit entre le coucher et le lever du soleil. En moyenne de 71.2%, elle dépendrait, à parts égales, des apports convectifs locaux et des flux aériensmajoritairement en provenance du Sud-Est. Sur la période 259 pluies avaient été enregistrées et la pression atmosphérique était constamment inférieure à 640 mm de mercure.

  • Cette carte (feuille 6) livre diverses informations à propos de la moyenne pluviométrique annuelle vers les années 1959.

  • Cette carte montre l'allure des précipitations moyennes mensuelles dans une partie de l'Afrique vers les années 1960.