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Contribution à l'étude géologique du secteur de Lubarika (approches pétrographiques et géochimiques)
Le secteur de Lubarika est constistué par les formations sédimentaires (grès et conglomérats) et métamorphiques (schistes et quartzites).Sur le plan géochimique, les analyses des éléments majeurs et en trace ont été faites. L'intérprétation des résultats des éléments majeurs a parmis de différencier les roches encaissantes tandis que celle des éléments en trace a mis en évidence la dispersion de la minéralisation. Dans ce secteur on y trouve une anomalie positive de l'Au, Ag, Sn et Ta.
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Bukavu, ville d'altitude et de latitude équatoriale, est à la fois sous l'influence de la barrière montagneuse qui longe l'Est de la RDC et de la cellule cyclonique de la zone intertropicale (cellule de Walker). L'ascendance géorographique des flux anticycloniques océaniques (Mascareignes ou de Sainte-Hélene) et l'atténuation des températures (moyenne thermique annuelle autour de 20 et 21°C) se reflètent à travers le ciel de Bukavu. Sa néphanalyse est formelle et parle d'un ciel tres nuageux entre 57 et 58% des cas. Les nuages les plus fréquents en saison humide sont des types cumulus et cumulonimbus (étage inférieur), altocumulus (étage moyen); en saison sèche, le cirrus et ou le cirrostratus (étage supérieur); la période de transition, les altostratus, les altocumulus, les cumulus fractus et humilis sont les plus observés.
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L'argilisation et la présence des sources d'eau en plein versant semblent être des éléments fondamentaux de la géomorphologie dynamique de la ville de Bukavu. C'est bien à propos qu'une telle étude avait été menée en vue de tirer au clair la part des facteurs perturbateurs pressentis : microporosité, macroporosité, taux d'humidité et degrés d'altération. Bien que les taux d'humidité dépendent en général du régime pluviométrique, de l'évaporation, de l'évapotranspiration et de la porosité des sols. Au cours de l'année académique 1990-1991, les taux d'humidité ont varié saisonnièrement, avec des moyennes d'environ 27% en saison pluvieuse et 17% en saison seche. La moyenne générale de l'ordre de 22%, les place parmi les sols argileux à teneur en eau assez élévée. Situation différente de celle de 1990-1991 qui dépend de la variation de l'un ou l'autre facteurs précités.
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Ce travail a contribué à la connaissance des caractéristiques mécaniques des sols d'Idjwi-Nord susceptibles d'être affectés par les mouvements de masse et en particulier les glissements de terrain. Les résultats trouvés à partir des essais effectués au laboratoire de l'Université du Burundi ont montré que nous étions en présence des sols limoneux de bonne portance et que les glissements observés à Idjwi-Nord étaient beaucoup plus liées aux facteurs hydrogéologiques et anthropiques. La carte d'aléa a été déterminée en vue de circonscrire les zones à haut et à faible risque. Quelques méthodes de prévention de risque ont été développées pour lutter contre les glissements de terrain.
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La pandémie du sida, selon les statistiques communiquées annuellement par l'OMS, ne fait que gagner du terrain, davantage dans les milieux urbains que ruraux. C'est bien à propos que ce travail de recherche, essentiellement focalisé sur l'une des trois communes urbaines de Bukavu, s'est particulierement préoccupé d'inventorier et d' analyser les cas de séropositivité enregistrés à l'hopital général de référence de Bukavu. Leur répartition par commune en est fort évocatrice, et celle d'Ibanda la serait davantage.
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L'analyse pétrographique a dénudé l'existence de plusieurs natures lithologiques, à l'occurrence les formations sédimentaires (argilites, argilites graphitiques et conglomérats de type diamictites) qui constituent la quasi-totalité des formations de ce secteur. L'analyse structurale a revelé une orientation préférentiellle des couches NNW-SSE. Par corrélation régionale, l'âge Panafricain est à attribuer pour les événements géologiques de LUDUHA.
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Les travaux de cartographie ayant été de longue haleine il y a quelques décennies, il n'en est plus le cas avec l'avènement du GPS (Global Positioning System) dont les avantages ne sont plus à démontrer en termes d'économie de temps, de précision et de traitement des levers de terrains. A ces facilités de cartographie offertes à la technique topographique de cheminement, l'inventaire des infrastructures activités de production de types artisanal et industriel s'est imposé pour faire plus de lumière sur les questions relatives à l'urbanisation de la ville de Bukavu et les nouveaux défis de l'implantation des entreprises plus compétitives et à meme d'offrir plus d'emploi. Le présent travail du second cycle d'études universitaire s'est exclusivement chargé d'en faire un relevé exhaustif dans les communes de Bagira et de Kadutu, les deux anciens centres extra-coutumiers de la ville de Bukavu.
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Une des mesures de la forte croissance démographique que connait la ville de Bukavu est celle qui se rapporte à ses besoins surtout énergétiques, de fabrication des meubles et de construction des maisons en planches. Ce bois provient des forêts naturelles et des boisements des villages de territoires de Kabare, Walungu et de Kalehe. Les flux qui alimentent sont si importants que les quantités qui rejoignent la ville de Bukavu sont annuellement de l'ordre de plus de 1.200 tonnes. Les forêts reculent sensiblement, et les villageois en quête des terres ne font que les amenuiser davantage chaque jour qui passe .
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Les sols de cette partie de la ville de Bukavu sont faiblement perméables et argilo-limoneux. Du point de vue comportement, ces sols ont un comportement moyen à faible conformement à l'indice de groupe. Ils sont gonflants et selons les analyses faites on a constaté que ce secteur est couvert par un mauvais sols. Ils sont aussi susceptible d'engendrer des pressions sur les couches que devra supporter la fondation. Ces sols ne peuvent servir que pour le remblayage de la couche de forme.
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Cette étude a porté sur l'étude de la flore et de la végétation rudérales, adventice des cultures et post culturales du groupement Mpene. Les investigations ont abouti aux résultats suivants: La flore du groupement Mpene est diversifiée car renfermant 473 espèces réparties en 323 genres, 104 familles, 41 ordres, 7 classes, 4 sous-embranchements et 3 embranchements. Les espèces herbacées dominent et les familles mieux représentées sont Fabaceae, Asteraceae, Poaceae et Euphorbiaceae. La végétation colonise des stations différentes : terrains régulièrement sarclés ou piétinés, les longs et bords des chemins ou sur les emplacements piétinés.
Geocatalogue of the Royal Museum for Central Africa