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Une des mesures de la forte croissance démographique que connait la ville de Bukavu est celle qui se rapporte à ses besoins surtout énergétiques, de fabrication des meubles et de construction des maisons en planches. Ce bois provient des forêts naturelles et des boisements des villages de territoires de Kabare, Walungu et de Kalehe. Les flux qui alimentent sont si importants que les quantités qui rejoignent la ville de Bukavu sont annuellement de l'ordre de plus de 1.200 tonnes. Les forêts reculent sensiblement, et les villageois en quête des terres ne font que les amenuiser davantage chaque jour qui passe .
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Le secteur de Mulambi est constistué par les formations sédimentaires (grès et conglomérats) et métamorphiques (schistes, phyllades et quartzites). Sur le plan géochimique, les analyses des éléments majeurs et en trace ont été faites. L'intérprétation des résultats des éléments majeurs a parmis de différencier les roches encaissantes tansis que celle des éléments en trace a mis en évidence la dispersion de la minéralisation. Dans ce secteur on y trouve une anomalie positive de l'Au, Sn, Mn, Zn et Cu
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Ce present travail a été effectué dans la rivière Kadubu et ses deux affluent principales notamment Mwana et kashandja dans une période courant deux saisons, le mois de mars et celui d'août 2014. Les site d'échantillonnage ont été choisis en fonction de la présence ou non des activités liés à l'exploitation et lavage de l'or dans une partie de la rivière. Pour chaque site un filet troubleau était utilisé pour capturer les spécimens . Au total 2925 spécimens ont été récoltés au cours de cette étude. Le site non perturbé par les activité d'exploitation d'or (MWANA) était plus riche en individu.
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Les marchés transfrontaliers sont une réalité dans la région des grands lacs Est-africains, mais vécue différemment pour des villes très proches comme Bukavu (RDC) et Kamembe (Rwanda). Les dits marchés en sont des véritables baromètres qui, dans certaines mesures, font ressortir des aires d'influence qui traduisent spatialement les rapports de dépendance ou non des populations de l'une ou l'autre entité urbaine ci-avant citée.
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Bukavu, ville d'altitude et de latitude équatoriale, est à la fois sous l'influence de la barriere montagneuse qui longe l'Est de la RDC et de la cellule cyclonique de la zone intertropicale(cellule de Walker). L'ascendance géorographique des flux anticycloniques océaniques (Mascareignes ou de Sainte-Hélene) et l'atténuation des températures (moyenne thermique annuelle autour de 20 et 21°C) se reflètent à travers le ciel de Bukavu. Sa néphanalyse est formelle et parle d'un ciel tres nuageux entre 57 et 58% des cas. Les nuages les plus fréquents en saison humide sont des types cumulus et cumulonimbus (étage inférieur), altocumulus (étage moyen); en saison seche, le cirrus et ou le cirrostratus (étage supérieu)r; la période de transition, les altostratus, les altocumulus, les cumulus fractus et humilis sont les plus observés.
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L'etude floristique et structurale de la végétation marécageuse du Parc National de Kahuzi-Bioega a fait l'objet de ce travail. L'étude s'est limitée à l'inventaire de la flore, ce qui a permis de recencer 96 espèces regroupées dans 4 embnranchements, 5 sous-embranchements, 8 classes, 13 sous-classes, 35 ordres, 68 familles et 132 genres. Chaque espèce a été caractérisé par son type morphologique, son type biologique ainsi que sa distribution phytogéographique. L'inventaire floristique se faisait au fur et à mesure que le transect était parcouru. Les caractéristiques structurales de la végétation marécageuse ont fait aussi l'objet de ce travail
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L'argilisation et la présence des sources d'eau en plein versant semblent être des éléments fondamentaux de la géomorphologie dynamique de la ville de Bukavu. C'est bien à propos qu'une telle étude avait été menée en vue de tirer au clair la part des facteurs perturbateurs pressentis : microporosité, macroporosité, taux d'humidité et degrés d'altération. Bien que les taux d'humidité dépendent en général du régime pluviométrique, de l'évaporation, de l'évapotranspiration et de la porosité des sols. Au cours de l'année académique 1990-1991, les taux d'humidité ont varié saisonnièrement, avec des moyennes d'environ 27% en saison pluvieuse et 17% en saison seche. La moyenne générale de l'ordre de 22%, les place parmi les sols argileux à teneur en eau assez élévée. Situation différente de celle de 1990-1991 qui dépend de la variation de l'un ou l'autre facteurs précités.
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La période de l'après-guerres de libération, particulièrement de 1995 à 2005, en dehors du Centre-ville (ancienne ville européenne) avait très peu de mutation des activités écomiques tertaires. Sur les 296 cas inventoriés, seules 33 mutations tertiaires avaient été enregistrées les boutiques, les salons de beauté et les petits restaurants de la cité avaient pris la première place, avec pour chaque groupe un pourcentage d'un peu plus de 15% chacun . A coté de ces petites activités du tertiaire, les comptoirs d'achat des minerais, particulièrement de la colombo-tantalite, de la cassitérite et de l'or, s'étaient exceptionnellement multipliés pour répondre aux fortes demandes de cette économie des guerres.
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Ce travail a porté sur la caractérisation altitudinale de la végétation de Burhinyi. Spécialement la forêt de Katulo-Mazingira dans le groupement de kalambo. L'approche du transect a été adoptée afin de délimiter les différents niveaux des formations végétales sur ce versant montagard. A partir des placeaux de 100 m2 effectués le long du transect à des intervalles réguliers de 100 m, nous sommes parvenus à délimiter 3 étages de végétation alternés de 2 zones de transition, qui sont: les formations végétales à Syzygium sp1 et Connarus longestipitatus ( de 1800 à 2081 m d'altitude); à Pentadesma reyndersii et Dichaetanthera corymbosa ( de 2123 à 2179 m d'altitude) et enfin la formation végétation à Phillipia benguellensis et Vaccinum stanleyi ( 2242 à 2302 m d'altitude).
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Ce travail a permis d'inventorier les mouvemnts de masse dans le secteur de Bushushu. Treize glissements et douze ravines ont été mis en évidence. Les résultats obtenus à partir de nos observations couplés aux intérprétations prouvent que la combinaison de plusieurs facteurs dont la lithologie, la topographie, l'hydrologie et le changement d'affectation du sol contribuent à l'existence des mouvements de masse à Bushushu et à leur amplification.