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  • Les travaux de cartographie ayant été de longue haleine il ya quelques décennies, il n'en est plus le cas avec l'avenement du GPS (Global Positioning System) dont les avantages ne sont plus à démontrer en termes d'économie de temps, de précision et de traitement des levers de terrains. A ces facilités de cartographie offertes à la technique topographique de cheminement, les analyses spatiale et toponymique ont été abordées pour faire plus de lumière sur les questions relatives à l'urbanisation et à l'histoire politique de la ville de Bukavu. Le présent mémoire du second cycle d'études universitaire s'est exceptionnellement appesanti sur les quartiers Nkafu et Nyakaliba de la commune urbaine de Kadutu.

  • Les travaux de cartographie ayant été de longue haleine il y a quelques décennies, il n'en est plus le cas avec l'avènement du GPS (Global Positioning System) dont les avantages ne sont plus à démontrer en termes d'économie de temps, de précision et de traitement des leviers de terrains. A ces facilités de cartographie offertes à la technique topographique de cheminement, les analyses spatiale et toponymique ont été abordées pour faire plus de lumière sur les questions relatives à l'urbanisation et à l'histoire politique de la ville de Bukavu. Le présent travail du premier cycle d'études universitaire s'est exceptionnellement appesanti sur la cellule Kinyamuzige du quartier Lumumba de la commune urbaine de Bagira.

  • La ville de Bukavu ne dispose presque pas des données démographiques fiables depuis le dernier recensement éffectué en RDC, probablement vers les années 1982 ou 1984. Il arrive souvent que des données des enquêtes (dépouillement des échantillons) dépassent de loin ceux de l'administration urbaine. Devant une telle situation, dans le souci de se constituer des bases de données démographiques solides, une série d'enquêtes a pris pour cibles les cellules des quartiers urbains : la cellule Muhungu en constitue le présent cas.

  • La répartition de la population citadine s'est presque entierement calquée sur le modele colonial ( riche et blanc de la ville européenne, autochtone pauvre des centres extra-coutumiers). La seule nouveauté : la classe aisée indifféremment constituée par les expatriés et nationaux (corps consulaires, hommes d'affaires, agents des sociétés privées, cadres supérieurs de l'administration,...). Contrairement à la commune d'Ibanda dite "ville coloniale", les communes de Kadutu et de Bagira comptent très peu d'infrastructures dont les plus fréquentées sont les bars et buvettes ouverts nuitamment et tous les jours de la semaine.Mais à coté de ces débits de boissons, elles sont restées les domaines de prédilection des loisirs dits "populaires".

  • La ville de Bukavu ne dispose presque pas des données démographiques fiables depuis le dernier recensement éffectué en RDC, probablement vers les années 1982 ou 1984. Il arrive souvent que des données des enquêtes (dépouillement des échantillons) dépassent de loin ceux de l'administration urbaine. Devant une telle situation, dans le souci de se constituer des bases de données démographiques solides, une série d'enquêtes a pris pour cibles les cellules des quartiers urbains : la cellule Nyawera en constitue le présent cas.

  • Avec l'avénement, l'indépendance, nombreuses villes de la RDC ont vu affluer vers des marées humaines en provenance des milieux en quête d'un mieux-etre. Bukavu, autant que les autres villes congolaises, va voir sa population augmenter rapidement suite aux flux migratoires et puis par un surcroit naturel à la mesure de ses taux élevés de natalité. Ces populations en provenance surtout des villages voisins, en grande partie sans formation scolaire, ont été confrontés à un marché d'emplois fort exigeant en qualité de la main d'oeuvre. Des problèmes réels d'intégration se posent. La subsociété se constitue autour des solidarités éthniques, mais la ville paie le prix de recevoir en son sein une population pauvre.

  • La ville de Bukavu ne dispose presque pas des données démographiques fiables depuis le dernier recensement éffectué en RDC, probablement vers les années 1982 ou 1984. Il arrive souvent que des données des enquêtes (dépouillement des échantillons) dépassent de loin ceux de l'administration urbaine. Devant une telle situation, dans le souci de se constituer des bases de données démographiques solides, une série d'enquêtes a pris pour cibles les cellules des quartiers urbains : la cellule Nyamoma en constitue le présent cas.

  • Depuis la période des guerres à répétition à l'Est de la RDC, la non prise en charge des populations sinistrées se traduit par une situation socio-économique forte alarmante : la précarité et la pauvreté en font le lot quotidien. Si cette situation est fort aggravée dans certains milieux ruraux du Sud-Kivu par l'insécurité entretenue par les groupes armés il n'en est pas moins dans la ville de Bukavu où la pauvreté est un facteur majeur de l'insécurité urbaine. Cela est plus préoccupant quand on sait que 84% des ménages de la cellule MAJOR VANGU sont pauvres : 1.2 $ US de dépense alimentaire journalière par ménage, pour moins de 2200 calories.

  • Les travaux de cartographie ayant été de longue haleine il ya quelques décennies, il n'en est plus le cas avec l'avènement du GPS (Global Positioning System) dont les avantages ne sont plus à démontrer en termes d'économie de temps, de précision et de traitement des levers de terrains. A ces facilités de cartographie offertes à la technique topographique de cheminement, les analyses spatiale et toponymique ont été abordées pour faire plus de lumière sur les questions relatives à l'urbanisation et à l'histoire politique de la ville de Bukavu. Le présent mémoire du second cycle d'études universitaire s'est exceptionnellement sur le quartier Nyalukemba de la commune urbaine d'Ibanda.

  • Les quartiers de Nyamugo et de Cimpunda sont des quartiers populaires, des quartiers de l'ancien Centre Extra-coutumier de Kadutu, fortement remodelés avec la période du laisser-faire urbain de l'après 1960. L'arrivée massive et incontrolée des migrants les ont défigurés et des cas d'insalubrité et de logement hors-norme sont devenus légion. Les densités parcellaires de l'ordre de 2 à 3 personnes par 10 metres carrés et par plancher construit de 4 personnes par chambre illustrent cette forte pression démographique.