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  • Cette étude est présentée en 2015 dans le cadre des recherches organisées au département de géographie et gestion de l'environnement de l'institut Supérieur Pédagogique de Bukavu (ISP-Bukavu) dans le cadre de l'actualisation de l'atlas de Bukavu. Ce travail s'inscrit dans une série d'études sur l'urbanisation au cours des deux dernières décennies de la ville de Bukavu. Il contient les éléments de la répartition spatiale des infrastructures de télécommunication, la voirie urbaine et les limites administratives.

  • La ville de Bukavu, comme nombreuses villes du tiers-monde, connait une urbanisation rapide, voire très rapide de manière que les effets pervers ne font que se multiplier (conflits fonciers récurrents, embouteillages, fréquents cas d' incendies, recrudescence du banditisme, enfance dévoyée et ou abandonnée,...). Cette explosion urbaine préoccupe à plus d'un titre nombreux chercheurs et les aires de vente, comme d'autres infrastructures sociales, permettent dans une certaine mesure d'en évaluer l'ampleur. Bagira, du Centre Extra-coutumier à une commune urbaine à vocation résidentielle (cité-dortoir indigène), a connu nombreuses mutations. Elle compte présentement 3 grands marchés, 8 petits marchés, 12 boutiques, 2 maisons d'habillement et 1 quincaillerie.

  • Au cours de la deuxième décennie apres l'indépendance de la RDC, Bukavu comptait 20.250 fonctionnaires. Ils étaient plus jeunes (56% agés entre 20 et 40 ans) et en grande partie de sexe masculin (85%).Mais à l'époque les de qualification des agents, d'improductivité des services étatiques et des maigres salaires se posaient déjà.

  • La scolarisation féminine reste préoccupante dans la ville de Bukavu. Bien que dans un centre urbain où la fille ou la femme aurait à bénéficier des mêmes avantages que le partenaire masculin, le bilan semble peu encourageant et réalise des pourcentages inférieurs à la moyenne africaine (49%). A l'école secondaire autant qu'à l'ESU (Enseignement Supérieur et Universitaire), les taux de scolarisation féminine restent faibles et exigent que des stratégies soient prises pour lutter contre la pauvreté et le collectif culturel qui accorde priorité au mariage.

  • Les travaux de cartographie ayant été de longue haleine il y a quelques décennies, il n'en est plus le cas avec l'avènement du GPS (Global Positioning System) dont les avantages ne sont plus à démontrer en termes d'économie de temps, de précision et de traitement des levers de terrains. A ces facilités de cartographie offertes à la technique topographique de cheminement, l'inventaire des infrastructures bancaires, d'épargne et de crédit s'est imposé pour faire plus de lumière sur les questions relatives à l'urbanisation de la ville de Bukavu et les nouveaux défis de l'économie moderne. Le présent travail du second cycle d'études universitaire s'est exclusivement chargé d'en faire un relevé exhaustif dans la ville de Bukavu et leur répartition spatiale.

  • La ville de Bukavu, comme nombreuses villes du tiers-monde, connait une urbanisation rapide, voire très rapide de manière que les effets pervers ne font que se multiplier (conflits fonciers récurrents, embouteillages, fréquents cas d' incendies, recrudescence du banditisme, enfance dévoyée et ou abandonnée,...). Cette explosion urbaine préoccupe à plus d'un titre bon nombre de chercheurs et certaines infrastructures offrent, dans les meilleurs de cas, des occasions de pouvoir en évaluer l'ampleur. A Bukavu, plus que dans ses autres communes, la commune d'Ibanda compte à elle seule 157 pharmacies. Il y a de quoi s'en faire quand on sait que "Bukavu-Ville coloniale (Costermansville)" n'en comptait pas une dizaine.

  • Les travaux de cartographie ayant été de longue haleine il y a quelques décennies, il n'en est plus le cas avec l'avènement du GPS (Global Positioning System) dont les avantages ne sont plus à démontrer en termes d'économie de temps, de précision et de traitement des levers de terrains. A ces facilités de cartographie offertes à la technique topographique de cheminement, l'inventaire des infrastructures hôtelières et sportives s'est imposé pour faire plus de lumière sur les questions relatives à l'urbanisation de la ville de Bukavu et les défis d'une ville multifonctionnelle essentiellement fondée sur la trilogie logement-travail-loisirs ou divertissement. Le présent travail du premier cycle d'études universitaire s'est exclusivement chargé d'en faire un relevé exhaustif dans la commune d'Ibanda.

  • La forte croissance démographique de la ville de Bukavu est plus qu'une réalité vécue au quotidien. Le recours à certains services, tels que ceux de la santé, ne fait que se multiplier. Comme les études menées en 1999-2000 ont cherché à le prouver, la ville de Bukavu a en son sein 22 centres de santé, 45 dispensaires, 12 polycliniques et 10 centres hospitaliers. L'accès aux soins devient une des grandes préoccupations de nombreux habitants de la ville de Bukavu. Les anciennes formations n'en ont plus la capacité et d'autres initiatives, plus privées, prennent le devant pour les épauler.

  • Les travaux de cartographie ayant été de longue haleine il y a quelques décennies, il n'en est plus le cas avec l'avènement du GPS (Global Positioning System) dont les avantages ne sont plus à démontrer en termes d'économie de temps, de précision et de traitement des levers de terrains. A ces facilités de cartographie offertes à la technique topographique de cheminement, l'inventaire des aires de vente s'est imposé pour faire plus de lumière sur les questions relatives à l'urbanisation et l'histoire économique de la ville de Bukavu . Le présent travail du second cycle d'études universitaire s'est exclusivement chargé d'en faire un relevé exhaustif dans la commune d'Ibanda.

  • Le marché de Kadutu est le plus ancien et le plus grand de la ville de Bukavu destiné des ses premiers jours aux populations indigènes. Comme tout l'espace bukavien, il a été aussi soumis aux différentes mutations à la lumière de sa démographie galopante. Confiné sur un petit espace, il reste l'un des points de vente les plus fréquentés de la ville de par sa chalandise, l'accessibilité des prix pratiqués à toutes les bourses et les opportunités offertes aux petits détaillants souvent financièrement démunis. Il fait donc figure d'un espace fort fréquenté (environ 240.000 personnes par semaine) et donc d'une clientèle intarissable. C'est normal qu'il fasse l'objet de toutes les convoitises.