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L'organisation technique de la pêche diffère d'un pays à l'autre. A Bujumbura c'est surtout les appollos et les catamarans motorisés et non motorisés; à Uvira tandis que les porte-filets et les pirogues porte-lampes s'associent pour former les unités catamarans mais à Bukavu se sont les trimaran et les filets qui font la pêche. L'absence ou l'insuffisance de contrôle par les instances administratives habilitées entraine un développement considérable des techniques et activités de pêche non autorisées. Le manque d'engagement effectif en faveur d'une coopération entre les Etats riverains pour une conservation et une exploitation rationnelle et durable des écosystèmes aquatiques freine le démarrage d'un développement effectif de la pêche.
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Cette étude a été réalisée entre février et Mai 2013 dans le but de connaitre l'écologie alimentaire en corelation avec les paramètres morphométriques des différentes espèces du genre Clarias. Les pièges sur base des nasses ont été utilisées dans différents sites et les échantillones au laboratoire d'hydrobiologie (CRH/Uvira. Les espèces identifiées présentent la taille de la première maturité 110mm pour le mâle et 140mm pour la fémelle chez C. gariepinus; de 130mm pour le mâle et 112mm pour la femelle chez C. theodorae et de 160mm chez le mâle et 130mm chez la femme d C. werneri dans le marais de Kinyamburu. Les espèces récoltées dans le marais de Kawizi C. gariepinus de la première maturité est de 110mm et 170mm; C. theodorae de 133mm et 115mm pour la femelle; C. werneri de 134mm mâle et 135 mm chez la femelle. Ces espèces se reproduisent toute l'année et toutes les espèces omnivores.
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Cette carte renseigne sur la localisation de certaines cultures comme le cacao, le café, le riz, le poivre, etc. vers les années 1954 à Sierra Leone.
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Cette carte livre des renseignements relatifs à la production et l'agriculture du Sierra Leone vers les années 1948.
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Cette carte livre des renseignements relatifs à la production et l'agriculture du Sierra Leone vers les années 1947.
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Cette carte de production animale traite les éléments sur l'étude de l'élèvage au Congo Belge (République Démocratique du Congo) vers l'année 1950.
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Cette étude porte sur l'inventaire et la description des champignons consommés par la population riveraine du PNKB avec comme objectif d'améliorer les connaissances sur les espèces fongiques consommées. Pour y arriver les méthodes d'enquêtage et de relevé des champignons ont été utilisées pour une bonne analyse des compositions fongiques. Au cours de cette étude, 38 espèces appartenant à 25 genres et 16 familles ont été inventoriées dont 8 non connues. Ces familles ont été classées dans 11 ordres, 5 sous-classes et 2 divisions. L'embrachement de Basidiomycota a été le mieux représenté avec 37 espèces, soit 97,4%. Les espèces terricoles sont les plus dominantes (55,3%) de l'ensemble des espèces de mycoflore. De l'ensemble 21 espèces des champignons sont consommés par la population mais 10 seulement sont reputées comestibles à Nindja.
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La population urbaine de Bukavu, confrontée au problème des salaires maigres et dans le cas extrême du manque d'emploi, s'organise de manière à s'assurer un minimum des conditions de vie acceptables en pratiquant certaines activités qu'elle croit plus rémunératrices. Parmi ces dernières on aligne l'élevage du petit bétail et de la volaille. Aujourd'hui ils sont nombreux ceux qui en vantent les avantages bien que pratiqués souvent dans des conditions peu recommandables (4.300 capridés, 191 ovidés, 1.017 suidés et poules, pintades, canards et dindons).
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Cette carte montre l'emplacement des zones pastorales dans le territoire du Ruanda-Urundi (Burundi actuel) vers les années 1959.
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Bien que le lac Kivu présentait une potentialité de production de 35.000 tonnes de poissons, la première solution fut tout d'abord de l'ensemencer avec des espèces adaptées en vue de réduire sa pauvreté en poissons. Mais en attendant ces productions, pour satisfaire ses besoins immédiats, la ville de Bukavu était obligée de se ravitailler à partir des lacs Tanganyika et Idi Amin. Le lac Tanganyika beaucoup plus proche de la ville lui fournissait annuellement environ 170.000 tonnes, 11 à 12 fois les approvisionnements en provenance du Lac Idi Amin.