Le secteur de Lubarika est constistué par les formations sédimentaires (grès et conglomérats) et métamorphiques (schistes et quartzites).Sur le plan géochimique, les analyses des éléments majeurs et en trace ont été faites. L'intérprétation des résultats des éléments majeurs a parmis de différencier les roches encaissantes tandis que celle des éléments en trace a mis en évidence la dispersion de la minéralisation. Dans ce secteur on y trouve une anomalie positive de l'Au, Ag, Sn et Ta.

Les secteurs de Chiburi et Butuzi sont caractérisés par les schistes graphiteux, conglomérats, grès, granites gneiss et le granites. Les ellipsoides de déformation sont dans le domaine d'allongement (construction triaxiale) où 1 inférieur à K inférieur à infini et le taux de déformation des ellipsoides de déformation de la colline Marhale est de 33,5%. Les failles sont orientées NNE-SSW, le filons de quartz et le plans de stratification sont orientés N-S.Les plans de fractures sèches ont deux orientations: ENE-WSW et ESE-WNW.

Du point de vue cartographique et lithostratigraphique, deux grandes unités sont dominantes dans le secteur stannifère de Lemera. Elles sont représentées par les intrusions granitiques et mafiques; puis des unités métamorphiques représentées par les séricitoschistes, les orthogneiss, les métagabbros, less métasilstones, les métapélites, les schistes graphiteux et les quartzites. Sur le plan structural, diverses phases de déformation ont affecté le secteur entre autre la première phase qui est ductile, la deuxième qui est intrusive à la base des granites minéralisés en minéraux d'étain et ses accompagnateurs exploités artisanalement et la troisième est cassante et est attestée par les cassures diverses.

L'étude préliminaire de l'inventaire systématique de la rivière Luhoho et ses afluents a été menée du mois de mars jusqu'en juillet 2010. Quatre sites d'échantillonnage ont été choisis selon les différentes agglomération et l'accessibilité. Les filets éperviers, les hamecons et les nasses ont été utilisés pour la récolte des poissons. Les résultats obtenus montrent que l'icthyofaune de la rivière Luhoho est composée de 4 ordres ( Cypriniformes, Suluriformes; perciformes et Charadriformes) représentés par 5 familles (Cyprinidae, Clariidae, Cichlidae, Mochocidae et Characidae). La famille de Cyprinidae domine les autres avec 92,85% d'espèces et en dernière position, la familledes Cichlidae et celle des characidae avec 0,65% d'espèces chacune.

A partir des résultats obtenus sur terrains comme les essais Porchet, les sols sur nos différents sites d'Ikoma possèdent une forte perméabilité et peuvent être sujets à de prochains glissements ou zones instables. Les sols aux différents sites d'échantillonnage sont aussi susceptibles de connaître d'éventuels glissements qui sont plus liés aux facteurs natuels et antropiques. La carte d'aléa a permis de circonscrire les zones à aléa faible, moyen et fort.

Ce travail est une étude qui as mis en évidence les différentes espèces végétales de la végétation forestière de Rwaga. Pour arriver aux resultats, deux méthodes ont été utilisées : la méthode de transect et celle de relevé phytosociologique de Braun-Blanquet. Le logiciel Twinspan a été utilisé pour déterminer les différents groupes phytosociologiques. 137 espèces réparties en 64 familles ont été recensées avec les familles Rubiaceae, Euphorbiaceae et Aspleniaceae comme les mieux représentées.

Ce travail a contribué à la connaissance des caractéristiques mécaniques des sols d'Idjwi-Nord susceptibles d'être affectés par les mouvements de masse et en particulier les glissements de terrain. Les résultats trouvés à partir des essais effectués au laboratoire de l'Université du Burundi ont montré que nous étions en présence des sols limoneux de bonne portance et que les glissements observés à Idjwi-Nord étaient beaucoup plus liées aux facteurs hydrogéologiques et anthropiques. La carte d'aléa a été déterminée en vue de circonscrire les zones à haut et à faible risque. Quelques méthodes de prévention de risque ont été développées pour lutter contre les glissements de terrain.

cette étude est une contribution à la connaissance de la richesse abiotique, biotique et de l'activité de pêche à l'étang naturel de Nyangara du 15 mars 2004 au 8 juillet 2004. Les coordonnées géographiques, les paramètres physico-chimiques, le plancton, les plantes aquatiques (macrophytes et non macrophytes), les oiseaux, les macroinvertébrés et la pêche ont été pris en compte. Les échantillons récoltés ont été analysés au laboratoire de Biologie du Centre de Recherche en Hydrobiologie d'Uvira. L'étang naturel de Nyangara a une superficie de 215,11 ha et son périmètre est de 14 km. Les plantes aquatiques entourent tout l'étang et la pêche y est traditionnelle.

Le travail a porté sur l'étude de la flore et de la végétation rudérales de la ville de Bukavu à des sites bien délimités et concus. La flore est dominée par les espèces rudérales, la famille Poaceae est la mieux représentée. Les herbes vivaces et les espèces des jachères herbacées sont les plus dominantes. Les espèces des champs de culture étant les plus fidèles aux phytocénoses décrites et analysées.

Le secteur de Nabwishenye est constistué des formations sédimentaires (grès ) et métamorphiques (quartzites). De la base au sommet, la lithostratigraphie de la région est constituée de quartzites, grès quartzitiques et grès. Sur le plan structurale, les marqueurs structuraux mis en évidence sur l'ensemble des formations sont les fractures sèches, la stratification et les filons. Ce secteur est traversé par deux familles de filons ayant des orientaions préférentielles N180°E/54°W et N72°E/59°SSE. Les formations géologiques trouvées dans ce secteur forment une structre monoclinale.